Entre la danse des nerfs et les pilules cataleptiques, entre Klaus Nomi, Klaus Schulze et Klaus Kinski, LOVATARAXX est avant tout l’alliage accidentel des synthés de cérémonie, des boites à rythme stéréotomiques et des téléviseurs cathodiques. Les morceaux s’enchaînent, les transitions nous entraînent dans des épanchements oniriques, entre montées raides et descentes sans rappel, mais le trio accompagne toujours ses spleens d’une rythmique tranchante et d’une basse au chorus réconfortant.

La musique de MAKOTO SAN allie le son de percussions en bambou et autres instruments asiatiques à la musique électronique. Insolite, pur et envoûtant, le timbre des instruments en bambou guide les productions du quatuor. C’est cette vibration des graminées qui donne aux morceaux signés MAKOTO SAN une couleur si singulière. C’est en LIVE qu’on prend la mesure de l’extrême transversalité de MAKOTO SAN. Des changements de tableaux et d’ambiances, la mise à l’honneur de l’instrumentarium, de l’étrangeté, des voix qui font voyager, des drops dévastateurs, une tension qui ne fait que monter et une question qui reste entière : Qui se cache derrière ces masques ?

Armé de son canon à confettis et de sa plus belle moustache, il a retourné sa cuisine, sa salle-de-bain et la chambre des enfants pendant le confinement…Dombrance, l’homme qui fait rimer politique et clubbing depuis son passage aux Trans Musicales de Rennes en 2018, poursuit son projet electoralo-musical fou : Pour Une France qui Danse !

Adepte des musiques électroniques et de la culture Psytrance depuis près de 10 ans, Arkeya passe du côté obscur des platines après avoir participé à plusieurs ateliers de formation organisés par Trancemission. Elle poursuit sa lancée en intégrant Sister Act, un programme d’accompagnement vers la professionnalisation dans le DJing. Elle se produit depuis 2021 dans les salles et festivals Grenoblois. Caméléon des musiques psychédéliques, Arkeya navigue entre son projet psytechno groovy-guinguette-style et des marathons explosifs de psytrance et full-on, au gré de ses envies. Ses sets énergétiques et colorés, aux kicks percutants, sont un appel à se trémousser au cours de DJ sets insolites et détonants. Un seul maître mot : le turbo-fun!

Desertstreet est un groupe de 5 musiciens Nord-Africains /Français qui font découvrir à leur public ce que l’on obtient quand on fusionne du flamenco, du blues Hassani (Desert-Sahara), Funk, Rock et de la Pop. Des couleurs assez diversifiées dont la majorité visent à faire danser le public sur les rythmes de percussion Châabi marocain et Flamenco de Mehdi, les solos joyeux, vifs et rapides de Ayoub et Bader, les deux guitaristes/chanteurs du groupe, le groove et le rythme berouali algérien de Nazim le bassiste, et la folie de Freddy sur la batterie. Le groupe propose des reprises d’artistes qui les inspirent, mais aussi leurs propres compositions. Leur objectif #1 est de faire danser, chanter et surtout faire vibrer l’audience dans le cadre d’un voyage autour du partage artistique et culturel.

¿¿ LA CLATE ??  Un groupe de rock cosmique entame sa tournée spatiale à bord d’une fusée d’occaz pas très fiable. Mal embarqués, ils n’ont très vite d’autres choix que de se crasher sur la première planète en vue : … La Terre … Quoi de mieux que cet espace inconnu pour y improviser une série de concerts en attendant de pouvoir redécoller ? C’est l’occasion à ne pas manquer pour nos terriens de venir découvrir cet univers fantasque : du rock brut de décoffrage, des textes chambreurs, de la saturation chaude et des cuivres explosifs ! Un mélange idéal pour secouer une soirée un peu trop calme !

La musique de Walter Astral, c’est la rencontre de la pop psychédélique avec l’univers de la techno, de l’acid et de la house. Les drum machines et les basses acid de Tristan se mélangent avec le son rétro de la guitare de Tino et d’un banjo si vieux qu’il procure des quarts de tons, tel un saz. Walter Astral est un explorateur céleste, arpentant des mondes parallèles en traversant des trous de ver cachés dans des séquoias géants. Il rencontre des hommes-bougies, des sorcières et des druides, une étoile qui vit dans un arbre, qui l’accompagneront au cours de sa quête mystique.

Avec sa pop mutante et débridée, SOCIAL DANCE attise l’orage sans états d’âme. Par ses mélodies entêtantes et ses rythmes frénétiques, le groupe crée une communion agitée, une véritable euphorie électrisante et libératrice. Le groupe cède au ballet de ses émotions et transforme sa sensibilité en force, en un coup de tonnerre.

C’est 5 collectionneurs de vinyls reggae réunis par l’intermédiaire d’une émission sur Radio Campus Grenoble : Étienne, Klem, Lewis, Antocha et Vivus. Ils proposent des sélections
& Dub worldwide avec des morceaux deep et méditatif, des roots déjantés, des dub qui dépotent et des excursions musicales surprenantes sont au programme !
Prenant plaisir à digger des disques provenant de toutes parts, ils vous proposeront de belles découvertes pour vous faire danser !
Parfois accompagnés par les copains soufflants avec leurs instruments pour encore plus de piment , préparez vous à avoir de belles surprises ! “

Né en 2013 et composé aujourd’hui de quatre membres, Edelvibes c’est avant tout la good vibe.
Le sound system « fait main» leur permet de diffuser aussi bien des vinyles sortis des tréfonds du reggae que des productions maison dub 3000, ou encore des sons plus “cadencés” venants des recoins des Caraïbes. Edelvibes aspire à diffuser un message de paix et d’amour mais aussi de respect et de conscience dans la manière de faire la fête, alors n’hésitons pas à sortir des sentiers battus !